Chant d’entrée
Notre cité se trouve dans les cieux
Nous verrons l'épouse de l'Agneau
Resplendissante de la gloire de Dieu
Céleste Jérusalem
L'Agneau deviendra notre flambeau
Nous nous passerons du soleil
Il n'y aura plus jamais de nuit
Dieu répandra sur nous sa lumière
Notre cité se trouve dans les cieux
Nous verrons l'épouse de l'Agneau
Resplendissante de la gloire de Dieu
Céleste Jérusalem
Dieu aura sa demeure avec nous
Il essuiera les larmes de nos yeux
Il n'y aura plus de pleurs ni de peines
Car l'ancien monde s'en est allé
Notre cité se trouve dans les cieux
Nous verrons l'épouse de l'Agneau
Resplendissante de la gloire de Dieu
Céleste Jérusalem
Gloria
Gloria in excelsis Deo, gloria Deo Domino
Gloria in excelsis Deo, gloria Deo Domino
et paix sur la terre aux hommes qu'il aime.
Nous te louons, nous te bénissons, nous t'adorons,
nous te glorifions, nous te rendons grâce,
pour ton immense gloire.
Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant.
Seigneur, Fils unique, Jésus Christ,
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père ;
Toi qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous ;
Toi qui enlèves le péché du monde, reçois notre prière,
Toi qui es assis à la droite du Père, prends pitié de nous.
Car Toi seul es saint, Toi seul es Seigneur,
Toi seul es le Très-Haut, Jésus Christ,
avec le Saint-Esprit dans la gloire de Dieu le Père.
Amen.
Première lecture (Ap 7, 2-4. 9-14)
Lecture de l'Apocalypse de saint Jean
Moi, Jean, j’ai vu un ange qui montait du côté où le soleil se lève, avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ; d’une voix forte, il cria aux quatre anges
qui avaient reçu le pouvoir de faire du mal à la terre et à la mer : « Ne faites pas de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, avant que nous ayons marqué du sceau
le front des serviteurs de notre Dieu. » Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau : ils étaient cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël.
Après cela, j’ai vu : et voici une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, avec des palmes à la main. Et ils s’écriaient d’une voix forte : « Le salut appartient à notre Dieu qui siège sur le Trône et à l’Agneau ! » Tous les anges se tenaient debout autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants ; se jetant devant le Trône, face contre terre, ils se prosternèrent devant Dieu. Et ils disaient : « Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! » L’un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d’où viennent-ils ? » Je lui répondis : « Mon seigneur, toi, tu le sais. » Il me dit : « Ceux-là viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs robes, ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau. »
Parole du Seigneur.
Nous rendons grâce à Dieu
Psaume 23
Voici le peuple de ceux qui cherchent ta face Seigneur
Au Seigneur, le monde et sa richesse,
la terre et tous ses habitants !
C’est lui qui l’a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.
Voici le peuple de ceux qui cherchent ta face Seigneur
Qui peut gravir la montagne du Seigneur
et se tenir dans le lieu saint ?
L’homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.
Voici le peuple de ceux qui cherchent ta face Seigneur
Il obtient, du Seigneur, la bénédiction,
et de Dieu son Sauveur, la justice.
Voici le peuple de ceux qui le cherchent !
Voici Jacob qui recherche ta face !
Voici le peuple de ceux qui cherchent ta face Seigneur
Deuxième lecture (1 Jn 3, 1-3)
Lecture de la première lettre de saint Jean
Bien-aimés, voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est. Et quiconque met en lui une telle espérance se rend pur comme lui-même est pur.
Parole du Seigneur.
Nous rendons grâce à Dieu
Acclamation de l’Évangile
Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia
Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia
Venez à moi,
vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
dit le Seigneur,
et moi, je vous procurerai le repos.
Alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia, alléluia
Évangile (Mt 5, 1-12)
Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
Gloire à toi Seigneur.
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui. Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait : « Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux. Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés. Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde. Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu. Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux. Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
Acclamons la Parole de Dieu.
Louange à toi, Seigneur Jésus.
Prière universelle
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
à être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie.