Chant d’entrée
Chantez, priez, célébrez le Seigneur
Dieu vous accueille, peuple du monde.
Chantez, priez, célébrez son nom.
Dieu nous accueille dans sa maison.
Il a fait le ciel et la terre
Eternel est son amour
Façonné l’homme à son image
Eternel est son amour
Chantez, priez, célébrez le Seigneur
Dieu vous accueille, peuple du monde.
Chantez, priez, célébrez son nom.
Dieu nous accueille dans sa maison.
Il a parlé par les prophètes
Eternel est son amour
Sa parole est une promesse
Eternel est son amour
Chantez, priez, célébrez le Seigneur
Dieu vous accueille, peuple du monde.
Chantez, priez, célébrez son nom.
Dieu nous accueille dans sa maison.
Acclamez Dieu, ouvrez le livre
Eternel est son amour
Dieu nous crée et Dieu nous délivre Eternel est son amour
Chantez, priez, célébrez le Seigneur
Dieu vous accueille, peuple du monde.
Chantez, priez, célébrez son nom.
Dieu nous accueille dans sa maison.
Première lecture (Is 50, 5-9a)
Lecture du livre du prophète Isaïe
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé. J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats. Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu. Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi ! Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Parole du Seigneur.
Psaume 114
Je marcherai en présence du Seigneur, sur la terre des vivants
J’aime le Seigneur :
Il entend le cri de ma prière ;
Il incline vers moi son oreille :
Toute ma vie je l’invoquerai.
Je marcherai en présence du Seigneur, sur la terre des vivants
J’étais pris dans les filets de la mort,
Retenu dans les liens de l’abîme,
J’éprouvais la tristesse et l’angoisse ;
J’ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t’en prie, délivre-moi ! »
Je marcherai en présence du Seigneur, sur la terre des vivants
Le Seigneur est justice et pitié,
Notre Dieu est tendresse.
Le Seigneur défend les petits :
J’étais faible, il m’a sauvé.
Je marcherai en présence du Seigneur, sur la terre des vivants
Il a sauvé mon âme de la mort,
Gardé mes yeux des larmes
Et mes pieds du faux pas.
Je marcherai en présence du Seigneur
Sur la terre des vivants.
Je marcherai en présence du Seigneur, sur la terre des vivants
Deuxième lecture (Jc 2, 14-18)
Lecture de la lettre de saint Jacques
Mes frères, si quelqu’un prétend avoir la foi, sans la mettre en œuvre, à quoi cela sert-il ? Sa foi peut-elle le sauver ? Supposons qu’un frère ou une sœur n’ait pas de quoi s’habiller, ni de quoi manger tous les jours ; si l’un de vous leur dit : « Allez en paix ! Mettez-vous au chaud, et mangez à votre faim ! » sans leur donner le nécessaire pour vivre, à quoi cela sert-il ?
Ainsi donc la foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte. En revanche, on va dire :
« toi, tu as la foi ; moi, j’ai les œuvres. Montre-moi donc ta foi sans les œuvres ; moi, c’est par mes œuvres que je te montrerai la foi. »
Évangile (Mc 8, 27-35)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là,
Jésus s’en alla, ainsi que ses disciples, vers les villages situés aux environs de Césarée-de-Philippe.
Chemin faisant, il interrogeait ses disciples :
« Au dire des gens, qui suis-je ? »
Ils lui répondirent :
« Jean le Baptiste ; pour d’autres Elie ; pour d’autres, un des prophètes. »
Et lui les interrogeait :
« Et vous, que dites-vous ? pour vous, qui suis-je ? »
Pierre prenant la parole, lui dit :
« Tu es le Christ. »
Alors, il leur défendit vivement de parler de lui à personne.
Il commença à leur enseigner ce qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup,
qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes,
qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite.
Jésus disait cette parole ouvertement.
Pierre le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre :
« Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit :
« Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ;
mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Evangile la sauvera. »
Chant de communion
Tu es là présent livré pour nous
Toi le tout petit, le serviteur
Toi le tout-puissant
Humblement tu t’abaisses
Tu fais ta demeure en nous Seigneur
Le pain que nous mangeons, le vin que nous buvons
C’est ton corps et ton sang.
Tu nous livres ta vie, tu nous ouvres ton cœur,
Tu fais ta demeure en nous Seigneur.
Tu es là présent livré pour nous
Toi le tout petit, le serviteur
Toi le tout-puissant
Humblement tu t’abaisses
Tu fais ta demeure en nous Seigneur
Par le don de ta vie, tu désires aujourd’hui
Reposer en nos cœurs.
Brûlé de charité, assoiffé d’être aimé
Tu fais ta demeure en nous Seigneur.
Tu es là présent livré pour nous
Toi le tout petit, le serviteur
Toi le tout-puissant
Humblement tu t’abaisses
Tu fais ta demeure en nous Seigneur
Chant final
Eviva!
Eviva ! Eviva! Eviva Jack Vauloup
Eviva ! Eviva ! Eviva Don Bosco
Un jour tu as ouvert ta porte
A une bande de vauriens
ils mendiaient quelques bouts de pains
un peu d’amour, ça réconforte
Et viva ! Eviva ! Eviva! Eviva Jack Vauloup
Eviva ! Eviva ! Eviva Don Bosco
Partout dans les villes en folie
On voulait profiter d’la vie
Le sale boulot et la misère
A fait de nous des prolétaires
Et viva ! Eviva ! Eviva! Eviva Jack Vauloup
Eviva ! Eviva ! Eviva Don Bosco
Nous étions encore des gamins
En ville on cherchait le turbin
Tu nous as sorti de nos trous
Chez toi c’est devenu chez nous.
Et viva ! Eviva ! Eviva! Eviva Jack Vauloup
Eviva ! Eviva ! Eviva Don Bosco
Turin et Giel c’est un chemin
Pour des jeunes sans lendemain
Don bosco et l’abbé Vauloup
Même combat et même amour.
Et viva ! Eviva ! Eviva! Eviva Jack Vauloup
Eviva ! Eviva ! Eviva Don Bosco