Chant d'entrée : Béni soit Dieu
Béni soit Dieu, le Père de Jésus le Seigneur ; par son Fils bien aimé, il nous a tout donné. Comme il est grand l'amour dont il nous a comblés, pour que nous soyons appelés : " Enfants de Dieu ".
- Père Saint, Dieu vivant et vrai, Tu étais avant tous les siècles. Tu demeures éternellement Lumière au-delà de toute lumière.
Béni soit Dieu, le Père de Jésus le Seigneur ; par son Fils bien aimé, il nous a tout donné. Comme il est grand l'amour dont il nous a comblés, pour que nous soyons appelés : " Enfants de Dieu ".
- Dieu très grand, source de la vie, Tu as fait l'homme à ton image. Tu lui as confié l'univers pour qu'en te servant, il règne sur terre.
Béni soit Dieu, le Père de Jésus le Seigneur ; par son Fils bien aimé, il nous a tout donné. Comme il est grand l'amour dont il nous a comblés, pour que nous soyons appelés : " Enfants de Dieu ".
- Dieu très bon, Père plein d'amour, nous étions perdus loin de Toi. Tu es venu nous rechercher Tu nous as montré ta fidélité.
Béni soit Dieu, le Père de Jésus le Seigneur ; par son Fils bien aimé, il nous a tout donné. Comme il est grand l'amour dont il nous a comblés, pour que nous soyons appelés : " Enfants de Dieu ".
Première lecture
Lecture du livre du prophète Jérémie
Au temps de Josias,
la parole du Seigneur me fut adressée :
« Avant même de te façonner dans le sein de ta mère,
je te connaissais ;
avant que tu viennes au jour,
je t’ai consacré ;
je fais de toi un prophète pour les nations.
Toi, mets ta ceinture autour des reins et lève-toi,
tu diras contre eux tout ce que je t’ordonnerai.
Ne tremble pas devant eux,
sinon c’est moi qui te ferai trembler devant eux.
Moi, je fais de toi aujourd’hui une ville fortifiée,
une colonne de fer, un rempart de bronze,
pour faire face à tout le pays,
aux rois de Juda et à ses princes,
à ses prêtres et à tout le peuple du pays.
Ils te combattront,
mais ils ne pourront rien contre toi,
car je suis avec toi pour te délivrer
– oracle du Seigneur. »
Parole du Seigneur
Nous rendons grâce à Dieu
Psaume
Sans fin, je proclamerai
ta justice et ton salut.
- En toi, Seigneur, j’ai mon refuge :
garde-moi d’être humilié pour toujours.
Dans ta justice, défends-moi, libère-moi,
tends l’oreille vers moi, et sauve-moi.
Sans fin, je proclamerai
ta justice et ton salut.
- Sois le rocher qui m’accueille,
toujours accessible ;
tu as résolu de me sauver :
ma forteresse et mon roc, c’est toi !
Sans fin, je proclamerai
ta justice et ton salut.
- Seigneur mon Dieu, tu es mon espérance,
mon appui dès ma jeunesse.
Toi, mon soutien dès avant ma naissance,
tu m’as choisi dès le ventre de ma mère.
Sans fin, je proclamerai
ta justice et ton salut.
- Ma bouche annonce tout le jour
tes actes de justice et de salut.
Mon Dieu, tu m’as instruit dès ma jeunesse,
jusqu’à présent, j’ai proclamé tes merveilles.
Sans fin, je proclamerai
ta justice et ton salut.
Deuxième lecture
Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens
Frères,
recherchez avec ardeur les dons les plus grands.
Et maintenant, je vais vous indiquer le chemin par excellence.
J’aurais beau parler toutes les langues
des hommes et des anges,
si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour,
je ne suis qu’un cuivre qui résonne,
une cymbale retentissante.
J’aurais beau être prophète,
avoir toute la science des mystères
et toute la connaissance de Dieu,
j’aurais beau avoir toute la foi
jusqu’à transporter les montagnes,
s’il me manque l’amour,
je ne suis rien.
J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés,
j’aurais beau me faire brûler vif,
s’il me manque l’amour,
cela ne me sert à rien.
L’amour prend patience ;
l’amour rend service ;
l’amour ne jalouse pas ;
il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil ;
il ne fait rien d’inconvenant ;
il ne cherche pas son intérêt ;
il ne s’emporte pas ;
il n’entretient pas de rancune ;
il ne se réjouit pas de ce qui est injuste,
mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ;
il supporte tout, il fait confiance en tout,
il espère tout, il endure tout.
L’amour ne passera jamais.
Les prophéties seront dépassées,
le don des langues cessera,
la connaissance actuelle sera dépassée.
En effet, notre connaissance est partielle,
nos prophéties sont partielles.
Quand viendra l’achèvement,
ce qui est partiel sera dépassé.
Quand j’étais petit enfant,
je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme,
j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant.
Nous voyons actuellement de manière confuse, comme dans un miroir ;
ce jour-là, nous verrons face à face.
Actuellement, ma connaissance est partielle ;
ce jour-là, je connaîtrai parfaitement,
comme j’ai été connu.
Ce qui demeure aujourd’hui,
c’est la foi, l’espérance et la charité ;
mais la plus grande des trois, c’est la charité.
Parole du Seigneur.
Nous rendons grâce à Dieu.
Evangile
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
dans la synagogue de Nazareth,
après la lecture du livre d’Isaïe,
Jésus déclara :
« Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture
que vous venez d’entendre »
Tous lui rendaient témoignage
et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche.
Ils se disaient :
« N’est-ce pas là le fils de Joseph ? »
Mais il leur dit :
« Sûrement vous allez me citer le dicton :
‘Médecin, guéris-toi toi-même’,
et me dire :
‘Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm :
fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !’ »
Puis il ajouta :
« Amen, je vous le dis :
aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays..
En vérité, je vous le dis :
Au temps du prophète Élie,
lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie,
et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre,
il y avait beaucoup de veuves en Israël ;
pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles,
mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon,
chez une veuve étrangère.
Au temps du prophète Élisée,
il y avait beaucoup de lépreux en Israël ;
et aucun d’eux n’a été purifié,
mais bien Naaman le Syrien. »
À ces mots, dans la synagogue,
tous devinrent furieux.
Ils se levèrent,
poussèrent Jésus hors de la ville,
et le menèrent jusqu’à un escarpement
de la colline où leur ville est construite,
pour le précipiter en bas.
Mais lui, passant au milieu d’eux,
allait son chemin. Acclamons la Parole de Dieu.
Chant de communion :
Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner, Aimer c’est tout donner et se donner soi-même.
Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’Amour, je suis comme l’airain qui sonne ou la cymbale qui retentit. R/
Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner, Aimer c’est tout donner et se donner soi-même.
Si je prophétisais et connaissais tous les mystères,
Si j’avais la foi à transporter les montagnes sans l’amour je ne suis rien. R/
Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner, Aimer c’est tout donner et se donner soi-même.
- Quand je distribuerais ce que je possède en aumône Et si je livrais mon corps à brûler dans les flammes cela ne me sert de rien. R/
Aimer c’est tout donner, aimer c’est tout donner, Aimer c’est tout donner et se donner soi-même.
Envoi : Regarde l’étoile
Si le vent des tentations s’élève, si tu heurtes le rocher des épreuves, si les flots de l'ambition t'entraînent, si l'orage des passions de déchaine,
Regarde l'étoile, Invoque Marie, Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l'étoile, Invoque Marie, Elle te conduit sur le chemin.
Si ton âme est envahie de colère, jalousie et trahison te submergent, si ton cœur est englouti dans le gouffre, emporté par les courants de tristesse,
Regarde l'étoile, Invoque Marie, Si tu la suis, tu ne crains rien.
Regarde l'étoile, Invoque Marie, Elle te conduit sur le chemin.
Coda : Si tu la suis, tu ne dévies pas, si tu la pries, tu ne faiblis pas.
Tu ne crains rien, elle est avec toi, et jusqu’au port, elle te guidera.